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Jean-Yves chevalier
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Posté le: Dim 31 Oct - 12:00 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors
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labellepoule Grognard
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Posté le: Dim 31 Oct - 22:52 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se _________________ Siéyès:"Messieurs,vous avez un maitre!Cet homme sait tout,veut tout et peut tout!"
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Jean-Yves chevalier
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Posté le: Dim 31 Oct - 22:58 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait
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labellepoule Grognard
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Posté le: Dim 31 Oct - 23:08 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à _________________ Siéyès:"Messieurs,vous avez un maitre!Cet homme sait tout,veut tout et peut tout!"
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Jean-Yves chevalier
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Posté le: Dim 31 Oct - 23:39 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire
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Posté le: Aujourd’hui à 11:28 (2024) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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labellepoule Grognard
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Posté le: Dim 31 Oct - 23:48 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son _________________ Siéyès:"Messieurs,vous avez un maitre!Cet homme sait tout,veut tout et peut tout!"
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Jean-Yves chevalier
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Inscrit le: 20 Aoû 2010 Messages: 789
Localisation: Evreux
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Posté le: Lun 1 Nov - 00:52 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle
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Léonor Tiguidoo
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Inscrit le: 10 Juil 2010 Messages: 921
C.1èr et 2ième Empire:
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Posté le: Lun 1 Nov - 11:11 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant
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Marie Queen
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Inscrit le: 25 Mar 2010 Messages: 2 507
Localisation: France
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Posté le: Lun 1 Nov - 12:28 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les _________________
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Jean-Yves chevalier
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Posté le: Lun 1 Nov - 12:29 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards
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Posté le: Lun 1 Nov - 12:29 (2010) Sujet du message: Publicité |
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labellepoule Grognard
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Inscrit le: 07 Aoû 2010 Messages: 2 917
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Posté le: Lun 1 Nov - 20:13 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards fatigués _________________ Siéyès:"Messieurs,vous avez un maitre!Cet homme sait tout,veut tout et peut tout!"
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Léonor Tiguidoo
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Inscrit le: 10 Juil 2010 Messages: 921
C.1èr et 2ième Empire:
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Posté le: Mar 2 Nov - 08:11 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards fatigués de
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Jean-Yves chevalier
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Inscrit le: 20 Aoû 2010 Messages: 789
Localisation: Evreux
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Posté le: Mar 2 Nov - 08:42 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards fatigués de devoir
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Marie Queen
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Inscrit le: 25 Mar 2010 Messages: 2 507
Localisation: France
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Posté le: Mar 2 Nov - 10:40 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards fatigués de devoir se _________________
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labellepoule Grognard
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Inscrit le: 07 Aoû 2010 Messages: 2 917
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Posté le: Mar 2 Nov - 10:56 (2010) Sujet du message: La phrase la plus longue |
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Napoleon voyageait surtout par la route embarqué dans une berline confortable en compagnie de son épouse toujours à l'occasion de voyages au coeur de la France,Paris,Boulogne,Lyon, mais aussi la Normandie ou l'attendait son fidèle grand ecuyer Armand de Caulincourt, il dinait le soir face à face à l'Angleterre si proche et l'on devinait que le regard du seulement lui faire comprendre les intentions de l'Empereur que bientot l'Angleterre tremblerait sous son armée si Villeneuve Pierre Charles Silvestre ne comettait pas un revers en croyant que le port serait cadenassé mais seulement hélas sa conduite ne pouvait etre celle de quelqu'un comme l'on en voudrait toujours à un ennemi mais plutot celle d'un faible qui croit parce que la prudence est une vertu toutefois si la situation devait l'exiger à prendre une décision rapide et efficace bien qu'imprudente, mais à la guerre comme à la guerre et il est incontestable que l'amiral Villeneuve craignait que Nelson ne lui empeche de deboucher rapidement sur le theatre des opérations afin de respecter la stratégie mise au point par l'Empereur qui esperait une diversion afin de coincer l'ennemi en le prenant par surprise lorsqu'il s'appretait à passer par un chemin Croche et rocailleux toutefois il ne pouvait pas il le savait que son Armada si elle n'avait pas un amiral competent, son plan de conquete risquait de mener à l'echec cuisant tant redouté c'est pourquoi il devait se montrer un tant soit peu méfiant par rapport à l'engagement pris face à son subordonné en décidant de retourner à Boulogne pour préparer un plan destiné à déplacer ses troupes en vue de devoir affronter l'ennemi à l'autre point de l'Europe , tandis que à Paris, les ordres de monsieur de Talleyrand -Périgord prenait les directives en l'absence de l'Empereur trop occupé à l'élaboration de ses plans qui selon la tournure des événements pouvaient empêchés ou au contraire faire avancer la situation vers une négociation de paix cependant générale et rigoureuse mais trompée par la coalition c'est pourquoi il décida qu'il ferait l'impossible pour que toute possibilité d' envahissement soit écartée temporairement pendant que Joséphine rentrait d'une visite avec Eugène et Hortense ou ils virent remplis de matériels les convois qui partaient vers une destination Canadienne pour l'hiver afin de réaliser la fête tant méritée de la France qui couronnerait l' alliance Québec et de l'Empire elles formeraient une nation suceptible de vaincre la perfide Albion qui tremblait devant Hervé Vilard, chanteur comique-troupier napoléonien, dont la réputation n'était plus à faire chez les Lorrains venus guincher au petit bal perdu dans la pampa avec ceux qui voulaient jouer au gaucho et aux échecs face à Danny Boon qui, alors se préparait à faire son spectacle devant les grognards fatigués de devoir se mettrent _________________ Siéyès:"Messieurs,vous avez un maitre!Cet homme sait tout,veut tout et peut tout!"
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